tome 3 la Terreur

série: Histoire Révolution Française
dessinateur / scénariste: Ruffieux+Castellar
éditeur: Atlas EO 1984
genre: Révolution
classement: biblio112
date: 1984
format: cartonné
état: TBE
valeur: 15 €
critère: **
remarques: chronologie, 3ème volet de la révolution

mars 1792 soulèvement de la Vendée royaliste
23.12.1793 sanglante répression de la révolte vendéenne
par les armées de Kleber, Westermann et Marceau
9.3.1793 Girondins (modérés) et Jacobins (extrémistes) s'affrontent
9.7.1793 assassinat de Marat
1.10.1793 création du Comité de Salut Public
et du Tribunal Révolutionnaire
16.10.1793 procès de Marie-Antoinette
10.11.1793 création du calendrier républicain, les Girondins
Barnave, Bailly, Vergniaud et Brissot sont guillotinés
5.4.1794 exécution de Danton et Camille Desmoulins,
la Révolution dévore ses propres enfants
7.5.1794 victoires à Fleurus et Strasbourg
par Jourdan, Pichegru et Hoche
8.6.1794 décret du 18 floreal, fête de l'être suprême,
Robespierre au sommet du pouvoir
28.7.1794 execution de Robespierre, Saint-Just et Couthon,
les Girondins reprennent le pouvoir, fin de la Terreur,
Billaud-Varenne, Collot d'Herbris et Carnot au pouvoir

>> un 3ème volume toujours de bonne qualité et très intéressant

Information
- Antoine Jean Galiot Mandat (1731-1792) seigneur de Berny-en-Santerre
et des Pins dans le Vendômois, était un commandant général
de la Garde nationale de Paris durant la Révolution française de 1789
- Mandat devient chef de la IVème légion de la Garde nationale,
une milice civile, en 1789, il est commandant général
de la Garde nationale de Paris, en 1792 c'est lui qui est chargé
de la défense des Tuileries lors de l'insurrection du 10 août 1792,
ayant peu de gardes à son service, Mandat s'est surtout proposé
de défendre les cours où il a posté des Suisses et des grenadiers,
il a massé des gardes nationaux dans le jardin
et placé des canons au Pont-Neuf et à l'Arcade Saint-Jean,
derrière l'hôtel de ville de Paris, pour arrêter les émeutiers
à leur descente des faubourgs; comme l'indique Lamartine
dans son histoire des Girondins, appelé à l’hôtel de ville,
pour y être assassiné, il meurt avant l’attaque des Tuileries,
les défenseurs des Tuileries n’ayant plus de chef,
il est probable que l’issue de la journée du 10 août fut changée,
s’il avait pu commander
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