BD-Basiliensis

tome30 le retour vers Xantl

série:	Vagabond des Limbes (le)
dessinateur / scénariste:	Ribera+Godard
éditeur:	Dargaud EO 2001
genre:	ScienceFiction
classement:	biblio126
date:	2001
format:	cartonné
état:	TBE
valeur:	10 €
critère:	*
remarques:	tome 30: toujours le destin se plaît à surprendre et, sous l'espoir qu'il tend, souvent un piège se cache Axle a sauvé le monde et est accueilli en triomphateur sur Xantl, tout lui sourit, sauf hélas, l'imprévu! le danger de la météorite, inventée par un dieu vindicatif et fou pour détruire le monde d'un autre dieu, ayant été écarté, le couple Axle/Muskie est reçu en fanfare par l'équipage du dauphin d'argent et par toutes les populations des territoires de l'Empire, Axle reprend son titre de Grand Conciliateur >> p. 12/13 Muskie est devenue maintenant une vraie femme très sexy!! Axle retourne à Terracotta qui n'est plus que ruine et désolation et où il y subit une attaque-surprise par de mystérieux agresseurs (probablement des prétendants à la succession du Grand Médiat) >> p. 21 les comploteurs et la Confédération de la Mandorle qui veut faire sécession suite au traitement infligé à Reemihc par Axle >> p. 25 la liste des prétendants qui ne font pas le poids contre Axle, malgré tout un coup d'état est fomenté lors des élections et le Grand Médiat est enlevé >> p. 32 Axle qui devient infirmier Axle est chargé de retrouver le Grand Médiat, mais les ravisseurs se sont emparés du dauphin d'or (remis en état) et une poursuite s'engage entre les deux dauphins en direction de Thauma, la planète des prodiges gouvernée par un être qui peut réaliser des choses extraordinaires, il est le maître des apparences, maître des cataclysmes, maître des tiroirs, bref maître de toute chose et les ravisseurs y déposent le Grand Médiat, puis repartent vers Xantl >> p. 44 première apparition du maître des prodiges Axle avec Muskie (toujours et toujours) débarquent avec un vaisseau-destroyer sur Thauma pour explorer la planète qui rend fou à la recherche du Grand Médiat >> un album quelque peu décevant, on en revient aux bonnes vieilles aventures avec la théorie anti-temps de Godard: refaire du neuf avec du vieux
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