BD-Basiliensis

tome 2 l'esclave

série:	Oracle
dessinateur / scénariste:	Istin+collectifs
éditeur:	Soleil EO 2014
genre:	Mythologie
classement:	biblio311
date:	2014
format:	cartonné
état:	TBE/N
valeur:	10 €
critère:	**
remarques:	récits sur une idée de Jean-Luc Istin, dessinateur: Bertrand Benoît, scénariste: Ronan Le Breton première courte histoire, celle de l'athlète Pélops, racontée par le vieux poète aveugle à Homère, maintenant devenu jeune homme nouvelle histoire, celle d'Akilon qui avait réussi à tromper les dieux fils de Zeus par sa mère Sélénée, une mortelle, Akilon est délaissé par Zeus et veut se venger >> p. 15 il devient roi de Thrace et fait détruire toutes les statues représentant Zeus Zeus, mis en colère, lance alors les armées du roi Argos sur le royaume d'Akilon dont le roi est réduit en esclavage par la suite, Akilon devient l'entraîneur de Balerios, fils du roi d'Argos mais Akilon cherche à redevenir libre et pour cela, il demande l'aide d'Hadès, dieu des enfers et de Pewrséphone, son épouse alors que Lyria, soeur de Balerios, reçoit le soutien d'Héra, épouse de Zeus, pour humilier son arrogant de frère et pour punir Akilon qui refuse ses avances à cet effet, Héra fournit à Lyria un masque qui lui permet de prendre l'apparence d'une autre personne, elle se présente ainsi à Akilon mais celui-ci par ruse lui ravit le masque, se débarrasse de Balerios et prend sa place pour les jeux olympiques grâce à la magie d'Hadès, Akilon triomphe de tous ses adversaires aux olympiades, c'est alors que Zeus se manifeste pour démasquer Akilon >> p. 42 l'apparition de Zeus Akilon défie son père Zeus dans un duel et grâce à l'appui de la magie d'Hadès réussit à terrasser Zeus en s'emparant de son éclair, toutefois pris de remord, il rend l'éclair à Zeus et se déclare vaincu mais alors il devient l'esclave de Hadès jusqu'à ce que Perséphone, éprise d'Akilon, lui rende sa liberté >> p. 44/45 le duel entre Zeus et Akilon >> à nouveau un bon album, un scénario bien imaginé, une intrigue intéressante bien que remplie à nouveau de vengeance entre dieux et mortels, mais surtout un graphisme bien exécuté
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