BD-Basiliensis

tome 5 Dei ex machina

série:	Fléau des dieux (le)
dessinateur / scénariste:	Gajic+Mangin
éditeur:	Soleil EO 2005
genre:	Fantastique
classement:	biblio702
date:	2005
format:	cartonné
état:	TBE/N
valeur:	8 €
critère:	0
remarques:	il existe un 6ème et dernier album de la série: tome 6 Exit (Soleil 2006) mais non collectionné ici Rome a emporté la bataille, les Huns, les sauvages barbares, ont été massacrés, Flavia Aetia a vaincu leur roi, Attila, mais l’empereur, à peine victorieux, a eu peur de devoir affronter ceux qui pourraient bien être deux divinités, sans hésiter, il les fait jeter au cœur même du soleil, mais peut-on tuer des humains devenus dieux ? l’empereur a commis la trahison de trop, déjà le préfet Avitus et le barbare Ébarse, les compagnons de Flavia, se soulèvent contre cette injustice, et si tout cela avait été en fait prévu de longue date par des êtres encore plus cruels et cyniques que les empereurs? pour Flavia et Attila, l’heure est venue de tout découvrir de leur passé et de ceux qui les ont créés et manipulés petit résumé les enfants prodigues sont de retour parmi les dieux, petite dissertation sur l'empire romain du passé: il y a 3000 ans, les savants de l'époque avaient compris en étudiant l'histoire et les probabilités d'avenir que l'empire mettait en danger l'existence de l'humanité, Rome avait écrasé les autres civilisations non par ses armes, mais par ses idées et son mode de vie oisif, sans ennemi, sans challenge , la romanité, restée seule civilisation, ne pouvait plus connaître d'évolution culturelle et sociale, elle était condamnée à mourir lentement n.b. et en fait, l'empire romain périt de par son oisivité et son anarchie en déclanchant la catastrophe des invasions barbares à Rome galactique, c'est la guerre civile qui éclate et cela devient aussi maintenant une affaire entre les dieux et les humains, le préfet prend le pouvoir et l'impératrice sacrifie le petit empereur Valentinien >> p. 33-35 le jardin zoologique galactique >> un avant-dernier album qui ne vaut vraiment pas pipette malgré leurs titres pompeux en latin, le dernier album ne sera pas collectionné ici, le texte de ce tome 5 est toujours aussi incohérent qu'au début de la série,on reprend des passages du passé antique, mais sur une autre dimension, un graphisme qui ne s'améliore guère avec une orgie et un chaos de couleur, mais sans aucune prétention
couvertures: