BD-Basiliensis

tome 3 le mystère Borg

série:	Lefranc reporter
dessinateur / scénariste:	Martin Jacques
éditeur:	Casterman EO 1965
genre:	Aventure
classement:	biblio623
date:	1965
format:	cartonné
état:	TBE
valeur:	300 €
critère:	**
remarques:	album couleur de 64 pages, édition belge dernier titre la grande menace - trois voitures en compétition (Fiat, Alfa et Jaguar) sur la route enneigé menant à la petite station de sport d'hiver de Gardsten, probablement en Suisse dans le canton des Grisons où l'on séjourne dans le célèbre hôtel Schweizerhof l'arrivée de l'inspecteur Renard qui enquête pour Interpol sur une affaire de contamination appelée Super Virus met en émoi la station qui est mise en quarantaine, Lefranc découvre que Axel Borg depuis un chalet isolé est à nouveau mis en cause >>p. 31 l'entretien Lefranc/Axel Borg où celui-ci qualifie Lefranc de jeune premier sans reproche "dites cela doit être assommant de ne pas avoir de défauts" la police et l'armée suisse interviennent mais trop tard pour empêcher Axel Borg de prendre la fuite avec la bombe bactériologique >> p. 39 un sacré coup de chance pour Lefranc l'enquête continue à Venise où on découvre que le célèbre mécène d'art, le marquis Tore Monte de Ferria est en fait Axel Borg, s'en suit une poursuite effrénée dans Venise durant laquelle après bien des péripéties, Axel Borg est mis sous les verrous pour la première fois >> premier album "montagnard" de Martin qui affectionne particulière la Suisse >>> page 8 le Schweizerhof, page 27 le célèbre pilote Eiger, page 32 l'armée suisse, page 46 la ville de Lucerne ainsi que de nombreuses courses à ski (un des sports favoris de Martin) >> p. 43 sauvé par des sangliers >> p. 44 l'hôtel devient Sweitzerhof (au lieu de Schweizerhof) et erreur d'ortographe: main au colet (au lieu de collet) >> p. 45 l'armée est devenue helvétique (au lieu de suisse) n.b. toutefois les militaires suisses sont bien dessinés >> récit tout à fait intéressant (mais avec toutefois un peu moins de suspense que les précédents albums), un graphisme de Martin toujours aussi soigné, l'impression n'étant plus aussi bonne que dans les éditions Lombard, dernier album à 64 pages
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