tome15 el Paradisio

série: Lefranc reporter
dessinateur / scénariste: Martin+Simon
éditeur: Casterman EO 2002
genre: Aventure
classement: biblio623
date: 2002
format: cartonné
état: TBE
valeur: 6 €
critère: 0
remarques: Lefranc échoué dans la jungle amazonienne
est secouru par une tribu d'indios Sarawak
qui lui demande de les soutenir dans leur lutte
contre une organisation religieuse, genre ordre solaire,
qui enlève les jeunes filles indios pour les faire travailler
dans leurs ateliers de textile,
genre camp de concentration appelé el paradisio!

Lefranc réussira son action avec l'aide indirecte
de Axel Borg qui se fait appelé Zarathoustra
et qui mettra les medias sur l'affaire

>> p. 16 une couronne mortuaire pour Lefranc
>> p. 18 des jeunes filles autochtones enlevées
comme esclaves pour fabriquer des jeans
>> p. 18 mention de Jeanjean qui n'intervient toutefois
pas dans l'épisode
>> p. 20 le supplice pour enlever les poils de Lefranc
>> p. 21 le blond Lefranc devenu noir et bronzé
comme un indigène sarawak
>> p. 23 les peintres célèbres comme Cotelle (1646-1708),
peintre des jardins (notamment de Versailles) et des dieux
ainsi que Martin (1860-1943), peintre post-impressionniste
>> p. 26 el Paradisio, nouveau camp de concentration et mention
de la drogue produite par des champignons hallucinogènes
>> p. 27 pardonnez-moi au lieu de excusez-moi?
>> p. 33 moi bien faire venir feu dixit un sarawak
>> p. 34 c'est une secte genre temple solaire
>> p. 47 la publicité pour les aventures de Lefranc
chez les indios sarawak
>> p. 48 une fin déplorable avec un Axel Borg (Zarathoustra)
qui ne veut pas abandonner sa montre Patek Philippe
(tout comme Lefranc page 39 qui la laissera toutefois
aux indios sarawak) et Axel Borg qui ne veut toujours pas
révéler son invention fabuleuse

>> à nouveau un tout pauvre récit avec des remarques
sans intérêt et un graphisme qui ne vaut guère mieux,
notamment le scénario de la planche 31 qui est
parfaitement naïve et stupide,
ce sera le dernier album dessiné par Simon Christophe
dont le graphisme est encore acceptable

n.b. au début du livre, Jacques Martin qui vit encore,
rend hommage à Jean Mermoz dont la fierté et le courage
ont enchanté la jeunesse de Martin, toutefois si l'hommage
est bienvenu, l'album ne lui rend guère hommage



couvertures:
Copyright 2008 - 2024 G. Rudolf